Les cellules souches et vos muscles
Les lésions musculaires d’une sorte ou une autre affectent pratiquement tous les êtres humains, au moins une fois dans la vie. Pour les athlètes et les ouvriers, cela fait presque partie de la vie quotidienne. Parfois une blessure musculaire peut persister pendant des mois, sinon des années, affectant considérablement la qualité de vie. Et compte tenu que la capacité à se réparer diminue avec l’âge, comprendre comment les tissus musculaires se réparent et comment nous pouvons puiser dans le potentiel des cellules souches adultes afin de mieux réparer, peut augmenter considérablement la qualité de vie.
- Cellule satellite – une cellule souche musculaire spécifique aux tissus
- Cellules souches de moelle osseuse pour la réparation musculaire
- La mobilisation endogène des cellules souches peut-elle aider à réparer les muscles?
- Ce que cela pourrait signifier pour les maladies musculaires dégénératives
- Mobilisation endogène des cellules souches et performance athlétique
Cellule satellite – une cellule souche musculaire spécifique aux tissus
Il est connu depuis un certain temps que les muscles contiennent un type unique de cellules appelées cellules satellites, qui jouent un rôle important dans la réparation musculaire. Cette cellule a été plus tard déterminée comme étant un type de cellule souche spécifique aux muscles qui s’active lorsqu’un muscle est blessé. [1,2] Et pourtant, malgré la présence de cellules satellites dans les muscles, la réparation musculaire et ligamentaire demeure souvent partielle ; une blessure musculaire peut parfois rester présente pendant des mois voire des années, réduisant considérablement la qualité de vie.
Cellules souches de moelle osseuse pour la réparation musculaire
Au début des recherches sur les cellules souches, les scientifiques ont rapporté que les cellules souches de la moelle osseuse avait la capacité de se transformer en cellules musculaires et de participer au processus de réparation musculaire. [3,4] En outre, à l’aide de modèles animaux de lésions musculaires, des études ont documenté comment les cellules souches sont naturellement libérées de la moelle osseuse après une blessure musculaire, comment elles se déplacent vers le muscle blessé pour ensuite migrer, et comment au contact des tissus musculaires endommagés elles contribuent à la réparation. [5,6] Ces études ont mis en évidence la mesure dans laquelle les cellules souches jouent naturellement un rôle important dans la réparation du tissu musculaire.
La mobilisation endogène des cellules souches peut-elle aider à réparer les muscles?
Il est intéressant de noter qu’une activité physique intense, tel un marathon, peut à elle seule conduire à une augmentation significative du nombre de cellules souches en circulation, qui n’est en fait qu’une réponse naturelle pour réparer les dommages générés par une telle activité physique.[11,12,13] L’exercice favorise également la conversion des cellules souches en cellules progénitrices endothéliales destinées à construire de nouveaux capillaires dans le tissu musculaire endommagé.[14]
Dans cet esprit, il est fort probable que la libération de cellules souches de la moelle osseuse stimulé par l’utilisation quotidienne d’un mobilisateur naturel de cellules souches à base de plantes puisse améliorer la réparation musculaire chez les athlètes et soutenir la performance athlétique au fil du temps.
Une étude a révélé que de nouvelles cellules cardiaques sont constamment formées au cours de la vie d’un individu, et il faut environ 25 ans pour renouveler environ la moitié du cœur humain. Le même phénomène a documenté d’autres organes et tissus, utilisant d’autres méthodes, a estimé qu’environ 3% de nouvelles cellules pancréatiques de β productrices d’insuline sont formées tous les quelques jours,[9,10] le foie se renouvelle à un taux d’environ 0,16% par jour[11] et le poumon à 0,07% par jour.[12] Par conséquent, en théorie, nous aurions en moyenne un nouveau pancréas et un nouveau foie tous les quelques années, un nouveau poumon tous les 4 ans, ainsi qu’un renouvellement significatif du cœur et du cerveau au cours de sa vie.[13]
Des scientifiques ont documenté comment une injection de cellules souches de moelle osseuse directement dans un muscle blessé peut améliorer la réparation des tissus musculaires.[7] Cependant, étant donné que les cellules souches de la moelle osseuse contribuent naturellement à la réparation musculaire,[8] une investigation plus approfondie était nécessaire pour déterminer si la simple stimulation de la libération de cellules souches de la moelle osseuse pourrait améliorer la récupération d’un muscle blessé. En utilisant le facteur stimulant les colonies de granulocytes (G-CSF), les scientifiques ont démontré que la mobilisation endogène des cellules souches (ESCM) pourrait en effet améliorer et accélérer la réparation musculaire.[9] Il a été constaté que l’ESCM améliore la récupération musculaire par la conversion des cellules souches en cellules musculaires, mais aussi en stimulant les cellules satellites déjà présentes dans le muscle.[10] Le résultat était non seulement une réparation améliorée de muscle mais a également un muscle plus fort.
Des résultats similaires ont été documentés à l’aide du mobilisateur naturel de cellules souches Aphanizomenon flos-aquae (AFA). Dans une étude, il a été démontré qu’un extrait d’AFA peut augmenter de manière significative la régénération musculaire après des blessures musculaires graves.[12]
Ce que cela pourrait signifier pour les maladies musculaires dégénératives
Bien qu’aucun traitement réel ne soit en vue, il est intéressant de mentionner qu’un certain nombre d’approches basées sur les cellules souches ont été documentées pour améliorer les symptômes de la dystrophie musculaire. Par exemple, des cellules souches de la pulpe dentaires injectées dans la circulation sanguine se sont incorporées aux muscles affectés et ont amélioré les symptômes de dystrophie musculaire.[13] L’injection de cellules souches isolées d’un tissu musculaire directement dans l’artère alimentant le muscle affecté a également conduit à la régénération du muscle.[14] Des résultats similaires ont été obtenus chez l’homme avec l’injection de cellules souches dérivées des muscles, directement dans les muscles affectés.[15]
Des résultats prometteurs ont également été observés avec l’ESCM. Il a été rapporté que la stimulation de la libération des cellules souches de la moelle osseuse avec le G-CSF aide à la régénération musculaire dans un modèle animal de dystrophie musculaire, et améliore la fonction musculaire dans un modèle de sclérose latérale amyotrophique (SLA).[16,17]
Mobilisation endogène des cellules souches et performance athlétique
Il est intéressant de noter qu’une activité physique intense peut à elle seule conduire à une augmentation du nombre de cellules souches en circulation. Par exemple, le nombre de cellules souches en circulation augmente considérablement après un marathon. [18,19,20] Il appert que ce serait les lésions microscopiques des tissus musculaires liées à l’activité physique intense qui déclencheraient la sécrétion de G-CSF et la libération conséquente de cellules souches de la moelle osseuse.[21] L’exercice favorise également la conversion des cellules souches en cellules progénitrices endothéliales destinées à construire de nouveaux capillaires dans les tissus musculaires endommagés.[22]
Par conséquent, il s’agit d’une réponse naturelle du corps après une activité physique intense, afin d’aider à la réparation des lésions musculaires microscopiques. Dans cet esprit, il est probable que le soutien de la libération de cellules souches de la moelle osseuse avec l’utilisation quotidienne d’un mobilisateur naturel de cellules souches à base de plantes pourrait améliorer la réparation musculaire chez les athlètes et augmenter les performances athlétiques au fil du temps. Bien qu’aucune étude n’ait été faite pour documenter une telle augmentation des performances physiques, cette hypothèse est soutenue par de nombreux rapports empiriques d’athlètes novices et professionnels.
Cellule satellite – une cellule souche musculaire spécifique aux tissus
Il est connu depuis un certain temps que les muscles contiennent un type unique de cellules appelées cellules satellites, qui jouent un rôle important dans la réparation musculaire. Cette cellule a été plus tard déterminée comme étant un type de cellule souche spécifique aux muscles qui s’active lorsqu’un muscle est blessé. [1,2] Et pourtant, malgré la présence de cellules satellites dans les muscles, la réparation musculaire et ligamentaire demeure souvent partielle ; une blessure musculaire peut parfois rester présente pendant des mois voire des années, réduisant considérablement la qualité de vie.
Cellules souches de moelle osseuse pour la réparation musculaire
Au début des recherches sur les cellules souches, les scientifiques ont rapporté que les cellules souches de la moelle osseuse avait la capacité de se transformer en cellules musculaires et de participer au processus de réparation musculaire. [3,4] En outre, à l’aide de modèles animaux de lésions musculaires, des études ont documenté comment les cellules souches sont naturellement libérées de la moelle osseuse après une blessure musculaire, comment elles se déplacent vers le muscle blessé pour ensuite migrer, et comment au contact des tissus musculaires endommagés elles contribuent à la réparation. [5,6] Ces études ont mis en évidence la mesure dans laquelle les cellules souches jouent naturellement un rôle important dans la réparation du tissu musculaire.
La mobilisation endogène des cellules souches peut-elle aider à réparer les muscles?
Il est intéressant de noter qu’une activité physique intense, tel un marathon, peut à elle seule conduire à une augmentation significative du nombre de cellules souches en circulation, qui n’est en fait qu’une réponse naturelle pour réparer les dommages générés par une telle activité physique.[11,12,13] L’exercice favorise également la conversion des cellules souches en cellules progénitrices endothéliales destinées à construire de nouveaux capillaires dans le tissu musculaire endommagé.[14]
Dans cet esprit, il est fort probable que la libération de cellules souches de la moelle osseuse stimulé par l’utilisation quotidienne d’un mobilisateur naturel de cellules souches à base de plantes puisse améliorer la réparation musculaire chez les athlètes et soutenir la performance athlétique au fil du temps.
Une étude a révélé que de nouvelles cellules cardiaques sont constamment formées au cours de la vie d’un individu, et il faut environ 25 ans pour renouveler environ la moitié du cœur humain. Le même phénomène a documenté d’autres organes et tissus, utilisant d’autres méthodes, a estimé qu’environ 3% de nouvelles cellules pancréatiques de β productrices d’insuline sont formées tous les quelques jours,[9,10] le foie se renouvelle à un taux d’environ 0,16% par jour[11] et le poumon à 0,07% par jour.[12] Par conséquent, en théorie, nous aurions en moyenne un nouveau pancréas et un nouveau foie tous les quelques années, un nouveau poumon tous les 4 ans, ainsi qu’un renouvellement significatif du cœur et du cerveau au cours de sa vie.[13]
Des scientifiques ont documenté comment une injection de cellules souches de moelle osseuse directement dans un muscle blessé peut améliorer la réparation des tissus musculaires.[7] Cependant, étant donné que les cellules souches de la moelle osseuse contribuent naturellement à la réparation musculaire,[8] une investigation plus approfondie était nécessaire pour déterminer si la simple stimulation de la libération de cellules souches de la moelle osseuse pourrait améliorer la récupération d’un muscle blessé. En utilisant le facteur stimulant les colonies de granulocytes (G-CSF), les scientifiques ont démontré que la mobilisation endogène des cellules souches (ESCM) pourrait en effet améliorer et accélérer la réparation musculaire.[9] Il a été constaté que l’ESCM améliore la récupération musculaire par la conversion des cellules souches en cellules musculaires, mais aussi en stimulant les cellules satellites déjà présentes dans le muscle.[10] Le résultat était non seulement une réparation améliorée de muscle mais a également un muscle plus fort.
Des résultats similaires ont été documentés à l’aide du mobilisateur naturel de cellules souches Aphanizomenon flos-aquae (AFA). Dans une étude, il a été démontré qu’un extrait d’AFA peut augmenter de manière significative la régénération musculaire après des blessures musculaires graves.[12]
Ce que cela pourrait signifier pour les maladies musculaires dégénératives
Bien qu’aucun traitement réel ne soit en vue, il est intéressant de mentionner qu’un certain nombre d’approches basées sur les cellules souches ont été documentées pour améliorer les symptômes de la dystrophie musculaire. Par exemple, des cellules souches de la pulpe dentaires injectées dans la circulation sanguine se sont incorporées aux muscles affectés et ont amélioré les symptômes de dystrophie musculaire.[13] L’injection de cellules souches isolées d’un tissu musculaire directement dans l’artère alimentant le muscle affecté a également conduit à la régénération du muscle.[14] Des résultats similaires ont été obtenus chez l’homme avec l’injection de cellules souches dérivées des muscles, directement dans les muscles affectés.[15]
Des résultats prometteurs ont également été observés avec l’ESCM. Il a été rapporté que la stimulation de la libération des cellules souches de la moelle osseuse avec le G-CSF aide à la régénération musculaire dans un modèle animal de dystrophie musculaire, et améliore la fonction musculaire dans un modèle de sclérose latérale amyotrophique (SLA).[16,17]
Mobilisation endogène des cellules souches et performance athlétique
Il est intéressant de noter qu’une activité physique intense peut à elle seule conduire à une augmentation du nombre de cellules souches en circulation. Par exemple, le nombre de cellules souches en circulation augmente considérablement après un marathon. [18,19,20] Il appert que ce serait les lésions microscopiques des tissus musculaires liées à l’activité physique intense qui déclencheraient la sécrétion de G-CSF et la libération conséquente de cellules souches de la moelle osseuse.[21] L’exercice favorise également la conversion des cellules souches en cellules progénitrices endothéliales destinées à construire de nouveaux capillaires dans les tissus musculaires endommagés.[22]
Par conséquent, il s’agit d’une réponse naturelle du corps après une activité physique intense, afin d’aider à la réparation des lésions musculaires microscopiques. Dans cet esprit, il est probable que le soutien de la libération de cellules souches de la moelle osseuse avec l’utilisation quotidienne d’un mobilisateur naturel de cellules souches à base de plantes pourrait améliorer la réparation musculaire chez les athlètes et augmenter les performances athlétiques au fil du temps. Bien qu’aucune étude n’ait été faite pour documenter une telle augmentation des performances physiques, cette hypothèse est soutenue par de nombreux rapports empiriques d’athlètes novices et professionnels.
Cliquez pour élargir les sources (1 à 10)
[1] La cellule satellite de muscle squelettique : encore jeune et fascinante à 50.
Yablonka-Reuveni Z. J Histochem Cytochem. en 2011.
[2] Activation des cellules souches dans la régénération musculaire squelettique.
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[3] Régénération musculaire par progéniteurs myogéniques dérivés de la moelle osseuse.
Ferrari G, Cusella-De Angelis G, Coletta M, Paolucci E, Stornaiuolo A, Cossu G, Mavilio F.Science. 1998 6 mars;279(5356):1528-30.
[4]Potentiel squelettique de différenciation de muscle des cellules adultes humaines de moelle.
Bossolasco P, Corti S, Strazzer S, Borsotti C, Del Bo R, Fortunato F, Salani S, Quirici N, Bertolini F, Gobbi A, Deliliers GL, Pietro Comi G, Soligo D. Exp Cell Res. 2004 Avr 15;295(1):66-78.
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[7]Potentiel squelettique de différenciation de muscle des cellules adultes humaines de moelle.
Bossolasco P, Corti S, Strazzer S, Borsotti C, Del Bo R, Fortunato F, Salani S, Quirici N, Bertolini F, Gobbi A, Deliliers GL, Pietro Comi G, Soligo D. Exp Cell Res. 2004 Avr 15;295(1):66-78.
[8] Régénération musculaire par progéniteurs myogéniques dérivés de la moelle osseuse.
Ferrari G, Cusella-De Angelis G, Coletta M, Paolucci E, Stornaiuolo A, Cossu G, Mavilio F.Science. 1998 6 mars;279(5356):1528-30.
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Cliquez pour élargir les sources (11 à 22)
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Torrente Y, Belicchi M, Marchesi C, D’Antona G, Cogiamanian F, Pisati F, Gavina M, Giordano R, Tonlorenzi R, Fagiolari G, Lamperti C, Porretti L, Lopa R, Sampaolesi M, Vicentini L, Grimoldi N, Tiberio F, Songa V, Baratta P, Prelle A, Forzenigo L, Guglieri M, Pansarasa O, Rinaldi C, Mouly V, Butler-Browne GS, Comi GP, Biondetti P, Moggio M, Gaini SM, Stocchetti N , Priori A, D’Angelo MG, Turconi A, Bottinelli R, Cossu G, Rebulla P, Bresolin N.Greffe cellulaire. 2007;16(6):563-77.
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